Con atto di forza e mezza giornata di ferie sono riuscito ad andare a una degustazione dopo diversi mesi di deserto totale. Oggetto: i vini lombardi. Conclusione: pochi spunti di eccellenza.
On the road
by Martin Field
I’ve been on holidays. London, St Emilion, Paris and San Francisco to be exact. Phew! It’s good to be back in Melbourne. Here follow a few random thoughts on the trip.
Mummified suitcases
Travel isn’t the fun it once was – or maybe I’m getting old. I travelled a lot in the late ‘60s and in 1971 the hippie overland trail from London to Calcutta was a highlight. Back then you could travel (rough) without too many concerns about personal security. Thirty to forty years on it’s strange to note that in a supposedly more civilised world international travel can be a bit of a worry.
Tastings from Australia
by Martin Field
Four Emus Chardonnay 2005 – $8 and under
South Australia. Attractive fruity nose full of peaches and pears. Off-dry palate with flavours of tropical fruits makes for a very pleasing summery style.
Barwite Riesling 2004 – around $14
Mansfield, Victoria. Delicate nose of lime and lemon flowers. Light dryish style in the mouth with lovely citrus character. Fine aperitif or entrée accompaniment. Will drink well for five years and more.
Vini coca cola? Ovviamente!
Apprendo una notizia che non mi farà mai più accostare un lambrusco scadente alla famosa bevanda di Atlanta. Anzi da oggi dovrò ricorrere niente meno che al Bordeaux!
Vini di vignaioli : incontro franco-italiano dei vini naturali
Weekend franco-italiano dei “vini naturali” a Fornovo di Taro, organizzato da Christine Cogez, con una tavola rotonda sul futuro della viticoltura naturale.
Christine mi ha invitato a participare a questo bell’incontro e ad intervenire per Slow Food Francia alla tavola rotonda. Abbiamo ritrovato gli habitués del newsgroup italiano IHV e di Iacchos, e molti dei nostri vignerons preferiti, tra i quali, Antoine Arena (Patrimonio), Angiolino Maule (Veneto), Francis Boulard (Champagne), Alessandra Bera (Piemonte), Charlotte et Jean Baptiste Senat (Minervois), Walter De Battè (Cinque Terre), Jean Baptiste Dutheil (Bandol), e molti altri.
De rerum vermentini
Ho trovato un bellissimo link, che consiglio a tutti gli appassionati di registrare tra i preferiti.
Vins de Vignerons : rencontre franco-italienne des vins naturels
Weekend franco-italien des “vins naturels” à Fornovo di Taro (près de Parma), organisé par Christine Cogez, avec une table ronde sur le futur de la viticulture naturelle.
Christine m’a invité à participer à cette belle rencontre, et à representer Slow Food France à la table ronde. Nous avons retrouvé les habitués du newsgroup italien IHV et quelques iacchosiens, et bien sur les vignerons, j’en cite quelques uns, Antoine Arena (Patrimonio), Angiolino Maule (Veneto), Francis Boulard (Champagne), Alessandra Bera (Piemonte), Charlotte et Jean Baptiste Senat (Minervois), Walter De Battè (Cinque Terre), Jean Baptiste Dutheil (Bandol), et beaucoup d’autres.
Zaza dans les vignes
Je suis tombée par hasard sur ce site :
http://perso.wanadoo.fr/elisabeth.seguin/vin.htm
Ces peintures me plaisent. J’en aime la simplicité, la vérité, le trait délicat mais non affecté et la couleur, bien sûr, lie-de-vin.
A propos, savez-vous ce qu’est la “fondrée” ? Vous trouverez la définition ici :
http://www.submm.caltech.edu/~hroussel/idiome_hautemarne.html
Merci à Madame Elisabeth Seguin, Zaza.
Dolcetto o Barbera?
Una recente spedizione nell’Ovadese e alcune considerazioni condivisibili di Ziliani sul suo blog mi fanno porre una domanda. Chi mi potrà rispondere?
Un Air de Famille : Pot-au-feu
Il en est du pot-au-feu comme de l’ami de la famille : même si on ne le voit pas souvent, on sait qu’il est là , tapi parmi les souvenirs les plus chauds, prêt à réapparaître un dimanche, en visite. Plutôt que la géographie, c’est l’histoire qu’il faut invoquer pour pister les origines de ce fil rouge culinaire. Le pot-au-feu est l’expression des cuisines primitives et de leurs évolutions jusqu’à aujourd’hui ; il reprend les canons d’une cuisine simple et roborative, bref, familiale.
Son nom appelle l’idée de mélange. Des viandes d’abord, grasses et maigres, de bœuf et de porc si vous misez sur la tradition. Des légumes ensuite avec du chou, des carottes, du céleri, des oignons, des navets. Rien de moins, le plus n’étant pas ici un défaut. Mais son nom évoque également le mélange des saveurs grâce à l’intimité d’une casserole pendant ces cuissons lentes et douces, au cours desquelles le bouillon s’enrichit des sucs des viandes et du jus des légumes.